| | Texte | |
|
+28Mathew Anderson Kamui Shiro Saeobu Shimiki Daho Hojinë Sophocles Inuro Tian Jaosy Frédéric Beaumarchait Nao Kyô Hiroki Fujiwara Andramède Inri Ang£lL TaKuTo Dnaa Aanor Melna Kina Hayato Dokama Jin Mei Eclair Athena Komihko Aburatori Noa Aiko Jun Hodaïra Erika Mina Sora Ayase Miu Ichinose Maxence Shigold NANARA Mitsuo Vaem Harön Thaï Yi Ayano Renka Litinae Mya 32 participants | |
Auteur | Message |
---|
Vaem Harön
Nombre de messages : 8570 Age : 35 Localisation : I stand alone in the darkness ♪ the winter of my life came so fast... Date d'inscription : 17/12/2005
| Sujet: Re: Texte Mar 24 Avr - 21:06 | |
| C'est le sous-niveau de ce que j'écris qui me fais déprimer ç_ç c'est jamais ce que je veux... Niuf... enfin... j'en ai un assez potable à mettre alors...
Chanson faite sur le vif - 17.04.2007 - Rien, rien, rien...
♪ Rien, rien, rien... Juste une étoile en flamme Dans un coeur sans chaleur Comme un regret à l'âme Sous la forme d'un malheur Une illusion une dame Pour attiser la peur Et une ébauche de drame Pour palier la douleur ♪
♪ Rien, rien, rien... Juste une envie de rire Dans un coeur un peu triste Comme une envie d'sourire Pour jouer à l'artiste. ♪
♪ Rien, rien, rien... Juste une pensée lointaine Qui s'en va un peu vite Une image incertaine D'une vie montée en kit. ♪
♪ Rien, rien, rien... Juste une ébauche de monde Dans mon univers à moi Ou les morales grondent En mélange maladroit. ♪
♪ Rien, rien, rien... Juste une étoile en flamme Dans un coeur sans chaleur Comme un regret à l'âme Sous la forme d'un bonheur Une illusion une dame Pour adoucir la peur Et puis la fin d'un drame Pour appaiser l'rêveur. ♪
♪ Rien, rien, rien... ♪
♪ Juste une esquisse un jour D'un pays sans amour♪
♪ Rien, rien, rien...♪
♪ Comme un sourire d'atour Donné à contre-jour ♪
♪ Rien, rien, rien ♪
♪ Juste une étoile en flamme Dans un coeur sans chaleur Un peu de vague à l'âme Devant tant de douceur Et puis un peu de charme Pour ceux qui comme moi pleurent Dans une forêt de larmes Trouver enfin un coeur. ♪
♪ Rien, rien, rien.... | |
| | | NANARA Mitsuo
Nombre de messages : 23454 Age : 35 Localisation : Closer to you my dear... Date d'inscription : 03/12/2005
| Sujet: Re: Texte Mar 24 Avr - 21:21 | |
| j'aime beaucoup...
c'est vaiment touchant *a un impresion bizar deriere sa poitrine*
vraiment bien | |
| | | Owen Blitz
Nombre de messages : 185 Age : 34 Localisation : Je ne vois pas -_-' cherche moi, je serais avec toi! Date d'inscription : 16/05/2007
| Sujet: Re: Texte Dim 27 Mai - 16:02 | |
| Vous trouverez ça bête mais bon...
Peur Peur de l'avenir Souvenir du passé trop omniprésent Je voudrais m'endormir Ne jamais me réveiller Jamais Fuir... Peut être... surement Je préfère fuir que de devoir te perdre Je préfère fuir que de voir tes yeux se fondre dans les miens Dans une rage folle Je préfère fuir que de subir ta vengeance Fuir et partir Loin Sans espoir de revenir Fuir Te fuir Non pas par peur finalement Mais par égoïsme Par jalousie Jalouse...? Oui... Je ne voulais pas Je ne savais pas Maitenant je suis lasse Je veux dormir Je veux dormir... Mais j'ai peur Du noir Du vide Que tu as mis en moi Sans t'en rendre compte Pourquoi moi Pourquoi toi Je ne sais pas Je ne sais plus Laisse moir Dormir Partir Fuir M'effacer de ton champ de vision Bien que tu ne m'as pas attendus pour le faire Je ne pleurerais pas J'ai trop vécus Envol? JAMAIS Je veux être libre... de moi... de toi... de vous... d'eux...
Moi j'adore, mais bon, pour être plus... hum ^^'
Sensations Sensuelles Censurées
Sentir son souffle sur ma peau Dans ses oreilles lui murmurer ses mots Sensations Sensuelles Censurées Voir le rouge lui monter aux joues Pour en prendre un plaisir fou Et lui répeter autant que je le peux Trois mots c'est pourtant si peu Sensations Sensuelles Censurées Chaqun à son propre effet Le mot Sensations Pour nos corps entrant en fusion Le mot Sensuelles Pour cet acte sexuel Le mot Censurées Pour ce poème ainsi prononcé A toi de voir Si désormais ces trois mots Sensations Sensuelles Censurées Ne te font pas de l'effet! | |
| | | Thaï Yi
Nombre de messages : 4448 Age : 37 Localisation : N'importe ou du moment que je puisse te nuir et te faire souffrir Date d'inscription : 01/12/2005
| Sujet: Re: Texte Mar 12 Juin - 22:20 | |
| Alors voici le truc le plus naze qu'il m'es venu d'écrire L'enfant est blessé
Il ne pourra jamais plus voler
Ramper dans la fange
Salir son coeur d'ange
Qu'importe, il est résigné
A s'asseoir et puis crever
Il ne regrette plus rien
Car il préfére oublier
Qu'un jour il s'est mis à rêver
Et espérer | |
| | | Kamui Shiro
Nombre de messages : 5109 Age : 30 Localisation : Dans les méandres de l'éternité... Date d'inscription : 11/02/2006
| Sujet: Re: Texte Mer 13 Juin - 16:30 | |
| Owen je connais se poème...je l'ai vu sur le blog de "ma soeur" ... Vava: t'es texte sont trop beau... Thai: J'adore. Moi je suis nul alors je n'en mettrais pas car je ne vois même pas votre cheville >_< | |
| | | Owen Blitz
Nombre de messages : 185 Age : 34 Localisation : Je ne vois pas -_-' cherche moi, je serais avec toi! Date d'inscription : 16/05/2007
| Sujet: Re: Texte Mer 13 Juin - 18:25 | |
| Je sais c'est à elle que je l'ai écris ^o^ | |
| | | Kamui Shiro
Nombre de messages : 5109 Age : 30 Localisation : Dans les méandres de l'éternité... Date d'inscription : 11/02/2006
| Sujet: Re: Texte Mer 13 Juin - 20:27 | |
| C'est donc de toi qu'elle parlait...Ok ^^ Tu lui dira que Isuzu s'excuse, mais qu'elle reste sa soeur dans son coeur. Merci Bon je flood alors je m'en vais ! ^^
°s'en va° | |
| | | Owen Blitz
Nombre de messages : 185 Age : 34 Localisation : Je ne vois pas -_-' cherche moi, je serais avec toi! Date d'inscription : 16/05/2007
| Sujet: Re: Texte Mer 13 Juin - 20:33 | |
| Maintenant je sais aussi qui tu es lol Et je ferais passer le message, promis!
Angel feather
Je marche dans la forêt, évitant soigneusement de marcher sur les branches mortes éparpillées à terre. Le froid mordant crée devant ma bouche un nuage de vapeur. Il fait nuit. J’aime cela. Je m’arrète et regarde le ciel parssemé d’étoiles, plus haut, un mince croissant de Lune. Je ris interieurement, brisant le silence de mes pensées. J’ai depuis longtemps quitté le sentier et je ne m’inquiète pourtant pas, connaissant ce lieu comme si j’y avais vécu. Je reprend mon chemin. Soudain, un de ces bouts de bois croque sous mes pieds. L’hiver les a ammassés à terre et je ne pus hélas l’éviter. C’est reparti... Course poursuite. Je me remets donc à courir du plus vite que je le peux alors que le vent se réveille soudain, faisant virevolter les flocons de neige se trouvant à terre eux aussi. Des pas se joignent aux miens et se rapprochent de plus en plus. Je hurle, laissant s’évacuer ma rage de vivre.Et mes pieds quittent le sol car mes ailes se sont ouvertes en un bruissement clair. La personne qui me poursuit fait de même et la course reprend de plus belle dans les airs. Je me retourne sachant que, de ce fait, je perdrais ces quelques millièmes de seconde qui pourraient m’être fatidiques, ce pour seulement voir qui me poursuit.
Je me retrouve face à un ange ayant deux magnifiques ailes noires possédant des reflets pourpres et me fige stupéfaite. Un flot de questions me paralysent. Pourquoi un ange chasse t-il une simple déchue comme moi? Le temps que je reprènne mes esprits et il me serre déjà contre lui, de façon à bloquer mes ailes pour que je ne puisse m’enfuir, je me débats un instant, avant de me rendre à l’évidence; le combat est perdu d’avance. Il me rammène sur terre sans un mot, ni même un regard. Où est-ce moi qui est prise de vertiges suite au contact de ses mains sur mes ailes, sacrilège impardonnable chez les anges, normaux ou déchus?
Lorsque ses pieds entrent en contact avec le sol il me libère et je tombe assez brutallement. Je ne bouge plus, attaquée par la honte, la peur et le dégoût. Comment a t-il osé toucher mes ailes? Tout ange sait pourtant que c’est interdit! Non que c’était douloureux, c’est juste un tabou installé depuis des siècles et des siècles! Je me recroqueville douloureusement, ne sachant pas à quoi m’attendre de la part de ce fou. J’entend ses pas. Il se rapproche délicatement de moi, contraîrement à la façon dont il m’avait emprisonnée. Là encore je me ressère d‘avantage sur moi-même. Il s’accroupit à mes côtés et replace mes longs cheveux noirs comme pour voir mon visage. Mon corps est en position foetus. Je ne peux empêcher le flot de larme de souiller ma peau. Elles sont de couleur sang, comme tous les déchus. Mes ailes sont, elles, grandes ouvertes et leurs plumes argentées se meuvent au rythme du vent sans aucune résistance.
Il appose ses mains dessus et je pousse ce qui ressemble à un gémissement. « Arrêtez... je vous en supplie arrêtez... » Réussis-je à murmurer fébrilement. Il ôte sa main rapidemment, comme pris de surprise, comme si l’espace d’un instant il m’a crue morte ou simplement endormie. J’ouvre petit à petit mes yeux, où le sang se mêle à leur couleur doré. Je cligne de l’oeil plusieurs fois puis mon regard se fige, par peur, par honte et par dégoût là encore. Il plonge son propre regard dans le mien. Ses yeux sont de couleur grenat et ses cheveux sont blancs. Non, pas blancs, plutôt argentés... Sa peau est lisse et mat faisant contraste avec la mienne, pâle. Il approche une nouvelle fois sa main de mon visage et récupère avec douceur l’une de mes larmes de sang pour la ramener au niveaux de son nez et la sentir avec curiosité.
Il ferme les yeux un instant, comme si cette odeur est captivante et j’en profite pour me reculer. J’ose encore un mouvement et il ne réagit toujours pas. Je me lève donc et me retourne rapidemment et silencieusement pour me remettre à courir quand il aggripe l’une de mes ailes. Je retombe une nouvelle fois brutalement et pousse un cris âpre de douleur. Il me considère étonné et je murmure une sorte d’invocation aux étoiles et à la Lune pour qu’elles me protègent mais il me coupe violemment en criant
« Taisez-vous!!! »
Je me tais sous le choc moi qui habituellement est intrépide et pousse jusqu’aux bout, mais avec lui comment? Il osait toucher mes ailes!!! Je met celles-ci sur moi et les serre d’ailleurs contre moi comme pour les protéger, je passe ma main sur elles comme pour les laver et ôter le toucher inconnu d’une autre main que la mienne. Il jette un oeil sur mon manège puis sur ses propres ailes j’en profite pour le pousser avec toute ma force. La surprise lui fait perdre l’équilibre et c’est à son tour de tomber. Je me remet à courir, encore trop sur le choc pour penser à m’envoler et il ne tarde pas à me poursuivre encore une fois. La peur de ses gestes me donne si je puis dire des ailes et je cours encore plus vite. Je ne perd pas mon temps à savoir à quelle distance il est de moi. Je n’entend plus ses pas, aussi je me stoppe bêtement pour voir s’il est toujours derrière moi. Je m’apperçois que non et je me permet de rependre mon souffle, mes mains s’appuyant sur mes côtes douloureuses. J’ai une coupure à mon bras droit due à ma seconde chute et l’abscence d’efforts me la fait rappeller. Je serre les dents, arrache un bout du bas de ma robe blanche comme la neige pour me faire une sorte de garot, arrêtant le sang qui coulait en abondance. Un ange déchu ne peut que soigner les blessures des autres, pas les siennes.
Je réfléchis hâtivement. Pourquoi cet Ange me poursuit-il? Depuis combien de temps est-il à ma poursuite? Pourquoi attend-il que je brise une branche morte pour reprendre cette course? Comment a t-il pu ne pas être déchu alors qu’il brise ainsi les tabous? Le simple fait d’être venu en aide à un humain m’a pourtant valu à moi même de l’être. A moins que ce ne soi de l’avoir aimer...
Je me retourne une nouvelle fois pour me remettre à courir quand je me retrouve face à face avec l’Ange. Je suis de nouveau paralysée de peur, de honte et de dégoût. Mon visage est à un centimêtre du sien. Je sens son souffle chaud se mélant au mien, son odeur se mélant à la mienne. Il appose ses deux mains sur mes épaules frèles et me fait m’asseoir. Je suis à bout de force et je m’applique donc à ne pas tomber en m’asseyant. Je me retrouve à genoux devant lui qui c’est aussi mis dans la même position. Ma tête est baissée, signe de soumission. Je suis trop lasse pour encore me battre. Il relève mon menton de sa main et me détaille. Je vois sur son autre main du sang, mon sang. Je soupire. Il sourit. Mais pourquoi sourit-il? Mes yeux enfin dans les siens, sa main sans sang dévie encore sur mes ailes qu’il caresse doucement, avec délicatesse. Un frison d’aversion me parcourt. Sa main remonte jusqu’à dans mes cheveux qu’il caresse aussi, il en approche son visage et les sent. S’en est trop pour moi et je m’effondre, innanimée.
Quand je me réveille le soleil s’est recouché de nouveau. J’ai donc dormi toute la jounée, si ce n’est plusieurs jours. Je sais que le soleil n’est plus car rien n’agresse mes paupières fermées. Je les ouvre doucement. Je me dis que ce que j’ai vécu anterieurement n’est qu’un simple cauchemar et attend d’y croire pour les ouvrir complètement. Et soudain je sens un souffle d’air chaud sur ma peau. Je sens un corps contre le mien. Mes yeux s’habituent à l’obscurité petit à petit et je remarque que je suis dans les bras de l’Ange. Il est endormi. Je ne bouge pas, trop effrayée pour, alors qu’il remue dans son sommeil. Il ouvre à son tour ses yeux, endormis eux aussi. Il me sourit puis, à mon plus grand étonnement, me sert un peu plus contre lui et m’embrasse pleinement. Je ne sais comment réagir. Ses bras se ressèrent contre moi, serrant mes ailes contre mon dos, collant nos deux corps l’un contre l’autre alors que lui même n’est habillé que d’une tunique noire.
Qui a dit que les déchus sont en noirs et les Ange pur en blanc? C’est tout le contraire! Je frissone. Ses ailes se rabattent sur nous formant une sorte de couverture. Je frissone encore plus. Je touche les ailes d’un autre Ange que moi! Il appose une nouvelle fois ses lèvres contre les miennes et je ne peux rien faire contre car de plus que ses ailes forment une rempart, de plus que je touche celle-ci et qu’il touche les miennes m’affaiblit, moi qui ne brûle pas les tabous les plus essentiels, j’aime ce toucher...
La seule personne ayant ainsi touché mes lèvres était un simple humain qui fut brûlé pour cela car j’étais un Ange Pur, et moi même je devins Déchue pour cet acte. Il me caresse mon bras droit et je serre les dents sous la douleur. Il me regarde étonné puis soulève la manche de ma robe pour voir la sale plaie. Il sourit et passe sa main dessus. Je sens une chaleur bienfaisante et la plaie disparait et il peut de nouveaux caresser le bras. Je ne sais quoi faire! Il recommence à toucher mes ailes et je sens les siennes parcourir ma peau!
Je proteste en un murmure mais il semble ne pas m’entendre alors que sa main parcourt toutes les parties de mon corps, même les plus intimes. Ses mains s’attardent sur ma poitrine et je le repousse du mieux possible mais tout reste vain... Je me livre alors entièrement à lui sachant pourtant que je ne suis pas moi même, que tout n’est due qu’au contact de ses mains sur mes pauvres ailes, et je comprends alors le pourquoi de l’interdiction. Le sait-il lui même? En profite t-il? Je ne sais plus... Je me mets à sourire comme si ce qui m’arriver est ma plus grande chance et , après avoir hésité un moment, j’appose moi même sa main sur ses ailes. Il me regarde avec un air de dire « Voila, tu as enfin compris! ». Et oui je comprend.
Les anges à l’origine, ne peuvent s’accoupler, encore un tabou, bien que je me sois toujours demandée comment nous prospérons, n’étant pas comme, tout le monde le croit, immortels, nous avons juste une longue espérance de vie, d‘environ 1000 voir 2000 ans. Et enfin je comprend. Procréation dans l’interdit, par le toucher interdit, tout n’est que tabous dans la vie d’un ange. Mais certains passent outre et c’est ainsi que nous existons... C’est étrange de savoir d’où nous venons... Du péchês... Ils auraient beaucoup à apprendre ceux qui m’avaient coupée les ailes... Les nouvelles sont pures... Comment pouvaient-ils le savoir? Trop coincés! Et voila que l’un d’entre-eux brave tout tabou avec une simple déchue... Je ne savait si je devais en tirer satisfaction ou peur... cela ne devait arriver que chaque millénaire, à la mort d’un ange...
Il me rammène au présent lorsque je sens quelque chose de glacer effleurer ma nuque et je sursaute. Il consolide son étreinte et ce qu’il a appliqué sur ma nuque passe sur le devant de mon coup pour descendre au niveau du haut de ma robe. J’apperçois enfin ce que c’est, une dague de cristal... Je concentre mon esprit dessus. Cela fait longtemps que je n’ai pas utilisé la télékinésie mais je dois y arriver. La dague quitte sa main pour s’envoler un instant au dessus de ma tête, je la récupère délicatement. A peine touche t-elle ma main qu’elle se teint de sang. Il rit doucement en voyant mon étonement. Je ressent alors une douleur lancinante dans le poignet, la dague se remplit de mon sang! Je la lâche tout aussi vivement et elle se fiche dans la neige qui vire là aussi au pourpre avant de fondre comme glace au soleil. Mon sang s’évapore par la suite.
« - Mais... Que.. Aïe!!! je serre mon poignet contre mon coeur. La plaie ne semble pas vouloir se refermer. Je le considère alors. Malgrès ce qu’il m’a apprit il me fait peur. Je ne le connais pas! - Chut... Et il embrasse la déchirure, car c’en est une, et elle disparait. - Arrétez! Je ne vous connais pas! Vous venez me capturer, sans dire mot, sans que je ne puisse rien faire! Je ne comprend pas! Je n’en peux plus! Vous touchez les ailes, vous touchez mes ailes! Et vous me serrez contre vous... Votre odeur m’ennivre... Vous parcourez mon corps sans aucune pudeur! Je proteste et vous continuez malgrès tout, vous jouant de moi car vous êtes le plus fort! J’ai très bien compris pourquoi, mais ne vous est il pas venue à l’esprit que je n’avais pas forcément envie de donner la vie? Tuez moi si ça vous pose problème je me moque de tout à présent!"
Il attend que j’ai fini mon monologue, qui, au départ fébrile, prend de la consistance et de l’assurance au fur et à mesure que je parle et répond, quelque peut surprit par cette réplique vigoureuse.
"- Vous ne voulez donc pas que prospère notre ligné? - Ce n’est pas ça... - Vous ne voulez donc pas que prospère notre ligné, oui ou non? - Foutez-moi la paix!!! »
Je le repousse violemment et, m’étant habituer au contact de ses mains sur ma peau, je peux m’envoler sans difficulté, ayant retrouvé toute mes capacités. Il ne me suit pas. Je le sais car je n’entend aucun bruit. Je me retourne pour vérifier et découvre qu’il est resté assis à regarder mon envol. A quoi s’attendait-il après ce qu’il a fait, à ce que je lui saute dans les bras pour « sauver le monde »? | |
| | | NANARA Mitsuo
Nombre de messages : 23454 Age : 35 Localisation : Closer to you my dear... Date d'inscription : 03/12/2005
| Sujet: Re: Texte Mer 13 Juin - 21:39 | |
| Thai : j'aime toujours auatnt ta plume
Owen : je trouve ce texte assez original. J'aime bien
Bien je vous donne celui ci. Juste parce que j'ai envie d'avoir des critiques dessus.
Approche que je vois plus loin.
Approche que je vois plus loin Ouvre mon horizon de tes mains Découvre moi des nouveaux mondes Raconte comme la terre est ronde
Approche que je vois plus loin Apprend moi à voir sans fin Guide mes pas de funambule Fais éclater ma bulle
Approche que je vois plus loin Laisse moi deviner tes desseins Apprivoise mes ombres du jour Éclaire moi de ton amour.
Si proche et je vois si loin...
Dernière édition par le Mer 13 Juin - 22:22, édité 2 fois | |
| | | Owen Blitz
Nombre de messages : 185 Age : 34 Localisation : Je ne vois pas -_-' cherche moi, je serais avec toi! Date d'inscription : 16/05/2007
| Sujet: Re: Texte Mer 13 Juin - 22:15 | |
| o_O j'aime j'aime j'aime ^^
-un connaisseur vous direz qu'il est rare que je n'aprécie pas XD- | |
| | | Vaem Harön
Nombre de messages : 8570 Age : 35 Localisation : I stand alone in the darkness ♪ the winter of my life came so fast... Date d'inscription : 17/12/2005
| Sujet: Re: Texte Mer 13 Juin - 22:19 | |
| Même si la forme est simple, j'aime bien. Il transmet quelque chose de tout aussi simple que sa forme, qui touche, mais en même temps, ça rend bizarrement mélancolique. Mais bon >.> c'est mon point de vue.
Juste un truc qui me chiffonne vraiment : "Laisse-moi deviner tes dessins" Dessins, dans le sens le dessin l'image ou dessiens, dans le sens le dessein, le but ?
Owen => Je lirais les tiens plus tard *a la flemme XD* | |
| | | NANARA Mitsuo
Nombre de messages : 23454 Age : 35 Localisation : Closer to you my dear... Date d'inscription : 03/12/2005
| Sujet: Re: Texte Mer 13 Juin - 22:22 | |
| hummm.... saloprie de main.... *faute de frappe* *s'était relue en plus pour une fois*
Non Vaem, c'est dans le sens dessein le but et pas dessin *U____U*
*va corriger pour la peine* Merci d'avoir fait remarquer ^^ | |
| | | Sophocles Inuro Admin créateur.
Nombre de messages : 205 Age : 35 Date d'inscription : 06/01/2006
| Sujet: Re: Texte Lun 18 Juin - 18:57 | |
| Ce texte ou plutôt ce poème n'est bien évidemment pas de moi (comme c'est en anglais j'ai même pas besoin de préciser d'ailleurs vu mes médiocres capacités dans cette langue ^__^ ) Mais en tous les cas je le comprend et je le trouve vraiment superbe alors je le met. TO THE VIRGINS, TO MAKE MUCH OF TIME
GATHER ye rosebuds while ye may, Old time is still a-flying : And this same flower that smiles today Tomorrow will be dying.
The glorious lamp of heaven, the sun, The higher he's a-getting, The sooner will his race be run, And nearer he's to setting.
That age is best which is the first, When youth and blood are warmer ; But being spent, the worse, and worst Times still succeed the former.
Then be not coy, but use your time, And while ye may go marry : For having lost but once your prime You may for ever tarry.
Robert Herrick | |
| | | Vaem Harön
Nombre de messages : 8570 Age : 35 Localisation : I stand alone in the darkness ♪ the winter of my life came so fast... Date d'inscription : 17/12/2005
| Sujet: Re: Texte Mer 15 Aoû - 17:58 | |
| Type : chanson Thème : musique des deux derniers couplets de Mistral gagnant. Juste pour avoir un avis.
~° C'était.... °~ 09.08.07
La boite à musique, posée sur le sol Égraine douc'ment ses notes Et au loin, au soleil, quelques oiseaux s'envolent La lumière tombe sur ses menottes La petite fille triste ne regarde pas le ciel Lent'ment elle se balance, sur la ritournelle... Elle a le coeur brisé... Elle a le coeur brisé...
Ses yeux pleins de larmes, ne pleureront pas Elle a bien trop d'fierté pour ça Et pourtant dans son coeur, elle sent les morceaux Râper tout douc'ment sur ses os, Ici, personne, ne lui accorde un regard Tous, comme ils sont, vivent dans un monde à part. Fantôme passé... Fantôme passé...
Elle sait bien, qu'elle s'ra jamais qu'une ombre Mais ça fait si mal à présent De voir tous ces gens, chéris en si grand nombre L'ignorer pour un amant En corps étranger, elle assiste aux ébats A peine du respect, pour celle qui est là... Âme fragilisée... Âme fragilisée...
Petite enfant seule, assise sur la terrasse A bien mal dans la poitrine Mais à quoi bon, comme le printemps qui passe Qui donc se soucierait de Line ? Même si elle le criait, personne ne la croirait Condamnée à avoir mal, sans jamais en pleurer. Esprit sacrifié... Esprit sacrifié...
Elle avait dix-huit ans, et un sourire tordu Elle faisait l'pitre dans la rue Son coeur et sa flamme réchauffaient les âmes Elle n'aurait pas rendu les armes Dans son p'tit coeur lambeau, c'était tout s'qui restait Pas même un espoir, celui d'être aimé... Toute une vie gâchée... Toute une vie gâchée... | |
| | | NANARA Mitsuo
Nombre de messages : 23454 Age : 35 Localisation : Closer to you my dear... Date d'inscription : 03/12/2005
| Sujet: Re: Texte Lun 20 Aoû - 21:10 | |
| *souffle un coup* Bien...
*prend deux minutes pour sortir quelque chose d'à peu près construit* C'est fort comme texte... T'as même reusit a me faire pleurer Vava...
Il fait un peu enfantin dans certaines phrase mais en même temps apr la srtucture ca fait vachement mature. L'histoire qu'il raconte est triste mais ca resort pas comme ça, enfin c'est pas l'impresion que j'en ai moi. je resent comme un malsaise un peu... et un vide au niveau de la poitrine.
Un peu comme si en lisant on devenait cette gamine qui a plus d'espoire..
C'est affreusmeent sublime comme texte.
u___u Enfin c'est que mon avis ! ^^ | |
| | | Litinae Mya
Nombre de messages : 6982 Age : 34 Localisation : ben je sais pas moi OO Date d'inscription : 14/12/2005
| Sujet: Re: Texte Mer 5 Sep - 16:51 | |
| Désolé. c'est pas comme Vava ou Mits... aussi joli, avec des rimes ou je ne sais quoi d'autre. il n'y a même pas de titre, c'est juste ce que je pense...
A quoi je sers dans ce monde ? N’arrivant même pas aider les personnes que je dis aimer. Ma famille, mes amis, je ne parviens à rien. CE que je sais faire finalement. Ce n’est que pleurer, et dire souhaiter la mort.
Quand je me trouve enfin devant Elle, Je cri, je pleure, m’accrochant à ce petit fil de vie. Parvenant alors à survivre, je recommence dans ce cercle infini.
Peine, désespoir, inutilité, voilà tout ce que je vois. Moi-même je ne sais pas qui je suis, A quoi je sers… Alors ne dites pas que vous le savez.
Je souhaites la mort, et dès que j’y arrive je recule, Pensant alors encore pire de moi qu’avant. Vous, vous êtes triste, ne pensant qu’à vous comme moi je pense à moi.
Humain, race stupide dans laquelle j’appartiens. Parait-il que nous sommes les meilleurs, et les animaux des moins que rien. Pourtant, tous autres races arrivent à se comprendre, et il n’y a que nous au fond, Qui ne comprenons qu’entre nous, Et pourtant, nous nous mentons, Nous apprenons des choses inutiles…
La mort… Quand enfin j’y parviendrais… Je ne laisserais que mon visage pâle. Vous vous souviendrez de quelqu’un d’enjouée, et pourtant… Derrière cette facette qui caché que de la peine. Le dernier geste que j’aurais, une petite larme qui coule de ma joue, Aucun sourire sur mes lèvres, Alors que dans ma tête résonnera des questions. « Qui suis-je ? » « A quoi je sers ? » Jamais je n’aurais de réponse… | |
| | | Owen Blitz
Nombre de messages : 185 Age : 34 Localisation : Je ne vois pas -_-' cherche moi, je serais avec toi! Date d'inscription : 16/05/2007
| Sujet: Re: Texte Lun 31 Mar - 20:09 | |
| Il fallait que je me remette à écrire, encore Love me... Kiss mee...Je te veux, tu me veux Quoi de mieux? Un soupir, un sourire Un caresse, ta faiblesse Ma faiblesse, ma promesse Je te rêves tu t'envoles Je te suis tu me fuis Simple jeu de souris Je suis le chat Tu es ma proie Chasseuse chassée Chasseuse aimée Réalité Un baisé empoisonné D'amour poison D'amour passion J'implose, explose Je renais hors de moi Pour renaitre en toi Unies Ça me suffit. | |
| | | Tian Jaosy
Nombre de messages : 179 Age : 35 Date d'inscription : 02/12/2005
| Sujet: Re: Texte Sam 5 Avr - 21:54 | |
| *Débarque comme si de rien ... *
Un texte que j'ai écris, un peu simpliste certes, mais j'avais envie de le poster quelque part.
Lésion interne ... souvenir éternel.
Parce que parfois, je me languis tellement de ses yeux, Qu'il me prend l'envie, d'en écrire un monde merveilleux, Et que soudain, sous mes doigts tremblants, Naquit une histoire, un conte, où j'y crois vraiment.
C'est comme inventer la satisfaction fortuite, D'une illusion, tant parcourue, que l'on à oublié Que signifiait son but, voulant marcher trop vite Si bien que reste aux souvenir, l'amour à y parsemer.
Encore un soir, où je ne pense qu'à vous et vos regards, J'écris des futilités, de la poésie d'avant garde, dénuée de subtilités Pour traduire mon désespoir, et mon émois, à votre pensée Cependant aujourd'hui, j'ai réussi l'exploit, de ne plus y croire.
Seuls mes rêves, peuvent se vêtir de votre soie, de vos sourires Pensant qu'ils ne sont destinés qu'à moi, pour me séduire Cela est tour déjà gagné, plus la peine de jouer encore, Je suis dévouée à votre être, je le suis âme et corps.
Accepté je vous prie, mes songes, ils vous le promettront toujours, Qu'en dépit de l'addiction, qui les tourmentent toute la nuit, A ces appels vicieux et délectables, ils sauront se montrer sourds Car de vous mes rêves sont et moi je suis ...
| |
| | | Owen Blitz
Nombre de messages : 185 Age : 34 Localisation : Je ne vois pas -_-' cherche moi, je serais avec toi! Date d'inscription : 16/05/2007
| Sujet: Re: Texte Ven 11 Avr - 20:14 | |
| J'adore cette partie: - Citation :
- Encore un soir, où je ne pense qu'à vous et vos regards,
J'écris des futilités, de la poésie d'avant garde, dénuée de subtilités Pour traduire mon désespoir, et mon émois, à votre pensée Cependant aujourd'hui, j'ai réussi l'exploit, de ne plus y croire.
Raison d'Etre d'une PlumePar pure principe Je continue d'écrire Par pure principe Je garde le sourire RIP REP Dans mon coeur Je pose ma plume Dans mon coeur Je n'ai qu'une enclume Dans mon coeur RIP REP Aujourd'hui Je vis Aujourd'hui Ma vie Aujourd'hui REP C'est toi! | |
| | | Yoru
Nombre de messages : 29 Age : 35 Localisation : Dans une pièce ronde et peu éclairée Date d'inscription : 02/04/2008
| Sujet: Re: Texte Mar 1 Juil - 20:26 | |
| Préambule:
En ouvrant les yeux je me rend compte par moi même qu'il y a quelque chose d'anormal... La faiblesse de la lumière, l'odeur masquée de la pièce. J'essais de ma lever mais n'y arrive pas. Je suis attachée. Mes yeux mettent du temps à définir où je suis. Un hôpital? Je pens... J'entend des portes s'ouvrir et se fermer à intervalle régulier. C'est sûrement ce bruit qui a réussis à me sortir de ma torpeur. Je discerne alors des pas se dirigeant vers moi. La porte s'ouvre à son tour et la lumière agresse mes yeux. Deux ombres se postent devant moi et l'on ouvre des rideaux dans cette pièce. Je voudrais alors demander autres de les fermer, car c'est la aussi source de douleurs pour mes yeux. Je voudrais pouvoir mes voir et leur demander de me libérer, que l'on me dise où je suis et ce que je fais ici. Je ne me souviens de iren, ni de ma présence ici, ni de mon nom, prénom, âge ou autre. Une voix s'élève:
"N°#157D. Sexe féminin. 19ans.Admise le 07/Juin 2030. Bon état général. On la relache demain. - Si tôt? - Hum. Je veux voir si elle pourra survivre. - Malgrès votre raisonnement je doute, mon cher ami. - Rassurez-vous alors, elle sera dans la même cellule que #031A. - Dante??? C'est définitif, vous êtes fou! - Je veux voir si l'angneau peut transformer l'un de nos loup. N'est ce pas interessant? - Si, bien sûr, j'ai hâte de voir ç. Oh! Regardez Démétrios, notre amie s'est réveillée! - Et alors? - Peut être faudrait-il lui expliquer la situation. - Elle le serra bien assez tôt. - Si elle ne se fait pas tuer avant... - Ne soyez donc pas si pessimiste, le Village, c'est pas la mort -se met à rire, sinique- Laissons là."
Les deux hommes que j'ai sus définir après que mes yeux se soient habitués, se révellèrent à moi. Le dénommé Démétrios était grand, cheveux blancs, visage rude, une cinquantaine d'années tandis que l'autre, plus jeune d'une dizaine d'années, était tout de même déjà bien dégarni, cheveux grisâtre [beurk XD]. Leurs paroles m'ont fortement perturbée bien que je ne sais pas si j'en ai bien compris le sens, tant j'étais groggy. On referma les rideaux, ainsi que la porte et je me retrouve de nouveaux seule. La seule phrase qui me reste alors en tête? Sexe féminin, N°#157D. Je tente de me défaire des liens m'entravant, mais je suis tellement faible qu'à bout de force, je m'endors une nouvelle fois.
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Je me sens soulevée par le col puis ejectée au sol alors qu'une longue douleur me transperce la tête et le long de ma colonne vertébrale. J'essais encore de sortir de mon sommeil pour me mettre hors de danger et la encore ma vision a du mal à se stabiliser. J'essaie de reculer mais je suis déjà dos au mur aussi je place mes bras face à mon visage, faible proctection... Je sens à pein les coup qui pleuvent sur moi. "Arrétez..."
Réussis-je à murmurer. Je suis étonnée de voir que je sais parler, étonnée de percevoir le timbre cristalin de ma voix. Je voudrais alors hurler mais j'ai le souffle court. Les coups se stoppent alors que je pensais que la fin ne viendrais jamais. J'ose ouvrir les yeux, j'ai mal partout... Mon corps tremble. je ne vois pas la personne qui s'est reculé dans l'ombre de l'endroit où je me trouve. Encore une autre pièce, la cellule dont j'avais entendu parler?
"Dante..? - Qu'est ce que tu as dis?"
Je me tais, je ne pensais pas qu'il m'avait entendu. Sa voix est dure, si dure. Mais où suis-je tombée?
"Qu'as tu dis?"
Je ne répond toujours pas. J'essais de retrouver ma voix, je n'y arrive pas, je suis trop terrorisée!!! L'homme s'avance, se révélant à son tour. Il est lui aussi grand et maigre mais son regard... Sortez moi de là!!! Il me prend par les cheveux, très long et argentés, pour me mettre à hauteur de ses yeux. Je lui griffe les mains, arrive à hurler. Il me regarde, dégoûté, et répette:
"Qu'as tu dis? - Dante, j'ai dis Dante!!! Lâchez moi!! je vous en pris!"
Il me lache et je retombe mollement. je suffoque puis cherche une sortie. Autour de moi? Quatre murs, un toilette, un lit à étage, un lavabo. Sur l'un des murs, une porte blindée. Mais où suis je tombée? Je me rue faire cette porte, tape des poings jusqu'à en saigner et hurle à l'aide et j'entend, derrière moi:
"Tu te casses la voix pour rien... - A L'AIDEEEE!!!! - Tu vas la fermer?!!!"
Le fameux #031A, ou , Dante, s'avance vers moi. La luer dans ses yeux dis tout aussi je me dépèche, larmes aux yeux, d'ajouter:
"Je me tais, ne me frappez pas, je vous en pris, ne me frappez pas... Je n'ai rien fais, je vous en pris... - Je leur ai pourtant dit que je ne voulais aucun colocataire... Hummm... Ni vois pas quelque chose de personel mais je vais devoir en finir... - Mais pourquoi? Je vous en pries! Je n'ai pas choisi d'être là!!! Je ne sais même pas qui je suis... Mais qu'est ce que je fous là..."
L'homme se stoppe, surpris *Elle ne sait pas qui elle est? Pourtant ils sont censés lâcher les nouveaux au Village seulement quand ils se souviennent de qui ils sont!*. Il me regarde puis me demande, calmement:
"Ton numéro"
Je hoquète, mes larmes ne cessant de couler sur mon visage. Il comprend que je ne sais pas, ou plus. Il s'avance vers moi et s'emparre violement de mon bras droit aussi je me protège de l'autre.
" #157D. Une D. Manquait plus que ça. Mais je m'en serrais douté. Donc, je ne vois pas pourquoi j'aurais de regrets. Si ce n'est as moi qui le fait, au premier temps mort on le ferra à ma place-me relache- - Non-non-non-non..."
Je regarde mon mi-bras et vois tatouer ce chiffre. Il tente de m'attraper mais je l'esquive. Il grogne, retente mais re-esquive. Mon souffle s'accélère. J'entend alors une sonnerie pesant et la porte souvre en un grondement sourd. Il me montre la porte.
" Eh bien vas y, le Village t'attend..."
J'hésite car si je veux sortir je me retrouve obliger de passer face à lui. Finalement je sors et reste un instant ébahis.
Le Village... | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Texte | |
| |
| | | | Texte | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |