Jun Ahikô

Nom: Ahikô

Prénom: Jun

Age(entre 14 et 19 ans): 16

Orientation sexuelle: Ne sait pas lui même

Problème(physique, psychologique): Victime d'hallucination.

Caractère(5 lignes): C'est simple, Jun ne sait absolument pas faire la différence entre ses hallucinations et la réalité. Il dit souvent qu'elles sont tellement réalistes qu'il doute que le moment présent ne soit en fait qu'une autre hallucination. Il est généralement très solitaire, renfermé sur lui même, et parle peu. Il faut dire qu'il a déjà eu des remarques du genre 'pourquoi tu parles tout seul?'. Il est fréquent qu'il entende des hurlements, le plus souvent de femmes, horrifié par il ne sait quoi, et qu'il voie une foule de gens se précipiter vers lui pour lui nuire, ou un homme tout de noire vêtu, les lèvres ornées de malice, le dévisagent ou qu'il soit. C'est un jeune homme assez paradoxal, il est solitaire, pourtant il n'est jamais seul. D'accord, la compagnie qui l'entoure n'est visible, et n'existe que pour lui, et ce n'est pas une bonne compagnie, mais elle est là quand même... Quand il est victime d'hallucination forte, il est capable du pire, pris par la folie. Il se nuit plus à lui même qu'aux autres, ne faisant pas la différence entre ceux qui existent ou pas, il s'est promis de ne plus se défendre quels que soit les coups, ou les situations, pour éviter de blesser inutilement les autres.

Physique(en rapport avec l'avatar, 4 lignes): Les yeux verts de sa mère, perçants, clairs, et constamment nostalgiques. Jun est toujours habillé chaudement, quelle que soit la température extérieure. Pourquoi ? Allez savoir... Une façon pour lui d'être encore plus isolé des autres, enfermés dans son monde à demi réel et pétrifiés par l'horreur qu'il y voit. Il est assez grand, 1m80, pour à peine une 50 aines de kilo. Bha oui quand vous voyez des espèces de verres grouillant dans votre assiette, ça donne pas très faim! Même si Jun s'efforce de se dire que ce n'est pas réel, il n'est pas très doué en autopersuasion. Son faible poids est aussi due aux violences qu'il subit sans cesse, non pas des violences parentales, ces parents, surtout sa mère, ont toujours prit soin de lui. Il est couvert de multiples blessures, camouflées par ses épais habits. Il a une cicatrice des deux côtés de la main gauche, sur la paume et au dos de la main. Un souvenir...
Il possède également 4 percing à l'oreille droite.

Histoire(10 lignes minimum):



Un passant décisif dans la vie de famille des Ahikô, l'accident de voiture qui eut pour protagoniste ses parents, et Jun, ainsi que, mort sous le choc, une jeune femme venant à peine d'avoir le permit, n'aillant pas réussit à contrôler son véhicule...

Hao courut, vite, il fallait qu'il se dépêche, l'hôpital n'était plus très loin, juste un peu, et il verrait sa mère sourire. Il ne savait pas ce qui s'était passé, n'avait voulu aucun détail, était parti de chez lui en courant dès qu'on lui avait dit que ses parents, et surtout son frère, étaient hospitalisés d'urgence. Ses maigres jambes d'enfant de 9 ans ne l'aidaient en rien. Malgré la fatigue qu'il ressentait, il ne s'arrêta pas un instant, et finit par arriver, et demander, essoufflé, à ce qu'on le conduise jusqu'à sa famille. La dame de l'accueil lui avait dit, sur un ton presque désolé, qu'il était impossible pour l'instant qu'il rende visite à sa famille. Son frère était en train d'être opéré, son père dans le coma, et sa mère trop déboussolé pour avoir de la visite.

Au bout d'interminables heures, il put voir sa mère.

— Hao...

Le jeune ne lui répondit pas, il sentit les larmes lui monter aux yeux, et bondit dans les bras de sa mère. Elle le serra fort contre elle, n'en sachant pas plus sur l'état des deux autres membres de cette joyeuse famille que le fils.
Peu après ces étreintes inespérées entre deux désespérés, un médecin arriva, et leur expliqua la situation.

— ... Votre second fils est dans un état grave. D'après le diagnostic, un morceau de métal lui aurait traversé la tête, cependant, votre fils était encore vivant... On a pu arrêter toute hémorragie et lui sauver la vie, cependant, le cerveau aillant était touché, on ne peut rien promettre quant à la santé mentale de votre enfant, aucune fonction motrice n'a était touché, rassurez-vous. Concernant votre mari, il est pour l'instant dans le coma, et ne présente aucune blessure grave.

La mère serra sa faible main recouverte de bandage, elle était couverte de blessure, comme si la vitre de la portière lui avait explosé à la figure. Bref, tremblant fortement, laissant s'échapper une plainte, elle se mit à pleurer. Bien qu'on lui dise que les deux étaient encore vivants, elle se devait de pleurer, son fils allait peut-être devenir un dangereux psychopathe, et son mari, ne jamais se réveiller...

Le jeune Hao pleura avec sa mère, bien qu'il ne comprenait pas tout ce qu'il se passait, les souffrances de sa mère entrée dans sa peau jusqu'a imprégner tout son corps, jusqu'à faire pleurer à son tour.



Chez Jun, quelque semaine après l'accident, c'était fait apparaître un tempérament changeant du tout au tout, lui auparavant si ouvert et surexcité, était devenu un garçon renfermé sur lui même et éloigné de tous ses autres petits camarades. Il parlait à peine à Hao, alors que les deux étaient pourtant très liés. A la suite de certain examen, il avait était prouvé que Jun était victime d'hallucination. On ne savait ni l'ampleur ni le réalisme de ces hallucinations, et le jeune Jun semblait pétrifié à l'idée d'en parler.

En salle de classe, ce jour-là, Jun avait réellement l'impression qu'une bête monstrueuse se promener sur son bras. L'impression que la bête lui dévoré le bras était si forte qu'il était tétanisé. Les paroles de sa maîtresse lui semblaient si lointaines... Une seule chose l'obsédé, se débarrasser de la créature qui longeait son bras jusqu'à se poser sur sa main. Il se saisit, sans réfléchit, d'une paire de ciseaux. Prenant ces ciseaux comme un couteau, ne se rendant pas compte de ce qu'il allait faire, aillant vraiment l'impression que sa vie était en danger, il s'empala la main sur la table, à 7 ans. Déchirant la peau, les muscles, et hurlant toute la douleur de son corps. Il fut à nouveau hospitalisé, et gardé en observation. Cette fois, il accepta de parler, après une longue discutions avec ce frère qu'il l'avait tant soutenu.




— Hey! Hao ! Ton frère est en train de se débattre contre personne ! haha ! tu va pas l'aider ?
-... Ce n’est pas mon frère.

Cette phrase, hao s'en voulut toujours de l'avoir prononcé, il reniait ainsi tous les espoirs que son frère placé en lui, toute la confiance qui l'avait en lui. Dans cet égoïsme, il avait préféré renier son frère que d'assumer l'humiliation que ce petit frère lui imposait. Il était fréquent que Jun en vienne à avertir les autres que la fin du monde était proche, qu'il dise être poursuivi par une horde d'homme vêtu de noir, pourchassé par une boule de feu, ou persuadé d'être attaqué par des ombres. Cela, hao, dans les premières années de l'étrange comportement de son frère, ne réussit pas à l'assumer. Il repartit chez lui, oubliant son frère à la grille de l'école, et ne rentrant pas chez eux avec sa compagnie. Ce jour-là, le jeune Jun attendit de longues heures que son frère vienne le chercher, malgré sa mère qui insistait pour qu'il rentre dans la voiture, il disait qu'il ne repartirait qu'avec Hao...



À la sortit de son lycée, sur la route pour rentrer chez lui, Hao découvrit Jun, roué de coup par une bande du coin qui, on ne sait pourquoi, l'avait désigné comme leur souffre-douleur préféré. Jun ne savait pas si ses agresseurs était réels ou pas, il n'avait jamais réussit à faire la différence, et, ne voulant blessé personne, ne se défendait jamais.

Hao attendit que la bande et finit son amusement, il n'était pas en position de force et savait que la bande tenait trop à son joujou pour le tuer tout de suite.
D'inlassables minutes à se faire fouetter et frapper sur tout le corps se passèrent pour Jun. À moitié mort, étendu sur le sol de cette ruelle sombre, il vit la silhouette de son frère se dessinait sur l'horizon. Il se sentit soulever du sol, et positionner dans le dos d’Hao, qui lui soulever les hanches pour le maintenir et ne pas risquer de la faire tomber.

« Dans quel état il ne faut pas te retrouver toi ! »
« Hao... Tue-moi... »
« Idiot. »
« J'ai l'impression d'être constamment seul au monde, je ne sais même pas si tu es bien réel... J'entends constamment des cris, des voix qui m'appellent au secours, comme si j'avais besoin de m'aider moi même... Des silhouettes ornées d'un sourire méchant m'accompagnent jusque dans la douche... »
« Ne gaspille pas tes forces ! Crétin! »

Jun sourit faiblement, et laissa son frère le raccompagner jusqu'a la demeure familiale.



Hao voyant son frère régulièrement couvert de coup, n'ayant aucun soutien autre que lui, et rejeté par tous dans son lycée, traité aussi de fou, demanda à ses parents de faire quelque chose, de le changer d’établissement, ou de rendre les visites chez la psychologue plus fréquente. Le père, Sanzo, en prit note, et à vrai dire, il était impatient de se débarrasser de son fils, et de le récupérer plus 'normal'.
Il dupa le reste de la famille sur l'endroit ou il compter mener son fils anormal, et il fut expédié sans avoir son mot a dire à la maison Thao.

tu dois lire et signer les relges

Fait !

je valide

bienvenu et bon jeu

chambre C