[Scientifique] Lionis Génésis

Nom : Génésis.

Prénom : Lionis.

Surnom : Léon.

Âge : 25 ans.

Orientation sexuelle : Tant que c’est mignon et que ça a du caractère, je suis pour m’en occuper, vous en faites pas.
Hm… Oui, bisexuelle en somme quoi.

Physique : Plutôt beau garçon, du moins je l’étais quand j’étais plus jeune selon les jeunes filles que je fréquentais alors, et les jeunes garçons mais cela va sans dire, je pense ne pas avoir trop changé depuis l’année de mes quinze ans, je sais, je sais, cela fait plus de dix ans maintenant, mais à part en taille et en corpulence, je n’ai pas du changer plus que cela, et encore, la corpulence je ne suis pas très sur ma foi, hm…
Bref, je fais un bon mètre quatre-vingt des pieds à la tête lorsque je suis pieds nus et cheveux coiffé, du côté de mon poids vous pouvez compter sur environ soixante-dix kilos tout sec et avec largement plus de muscle que de graisse, en réalité, je crois pas avoir une once de graisse en trop, du muscle oui, de la graisse nan, du moins je l’ai pas encore trouvé, ça viendra mais il me reste de bien belles années avant ça si vous voulez savoir ce que je pense.
Bien entendu, c’est sans vêtement que je parle, parce que sinon, le poids et la taille changent légèrement tout les deux, bah oui, tout de même.
Mes cheveux sont d’une couleur que je trouve toujours amusante malgré le fait que je la porte depuis vingt-cinq ans déjà, cela m’occupe de faire mumuse avec mon corps, où du moins d’en rire, ça permet de sourire.
Bref, mes cheveux… Et bien mes cheveux ont une teinte de rose très clair, mais elle n’en reste pas moins rose pour autant, ils sont assez long pour me masquer totalement le visage si je ne me coiffe pas, et je vous avouerais qu’il n’est pas rare que je les laisses ainsi, même si je préfère hautement en faire une queue de cheval qui descend généralement du bout de la colonne vertébrale, milieu du crane en réalité, au bas de mes omoplates.
Si vous observez bien la dite queue de cheval, vous verrez qu’une mèche de cheveux blanche la strie, elle part du côté gauche de mon crâne, sur le dessus.
Mes yeux sont d’un bleu assez joli par le fait qu’il est d’un cyan aussi clair que l’eau de mer sous le soleil de midi, mais alors vraiment bleu quoi, en réalité… On ne distingue pas pupille d’iris chez moi, c’est aussi naturel que mes cheveux et je fais avec, mais cela surprend assez souvent les personnes ne me connaissant pas, du moins quand ils ont le temps de m’observer quoi, et cela n’arrive pas souvent.
J’ai un menton et un nez assez banales, peut-être un peu dur dans leurs angles, je n’ai pas un visage singulièrement doux, je dirais même qu’il est assez pointus, mais on fait avec je crois, la preuve je vis avec depuis ma naissance, et je ne m’en suis jamais plaint.
Que dire de plus, ah, oui, mon oreille droite est percé d‘une boucle d’oreille très simple, un petit rubis dans une résille d’argent, elle ne m’a pas quitté depuis l’âge de mes douze ans, du moins, je ne m’en suis jamais réellement séparé quoi, sauf pour la nettoyer et autre.
A part ça, il est à noter que je suis fumeur et que je tiens toujours ma cigarette de la main gauche, je peux fumer en toute occasion, sans raison, et même quand je tabasse quelqu’un, ça ne me gênera pas le moins du monde, mais alors pas du tout.
Bon, passons au point le plus intéressant, l’habillement.
Alors c’est extrêmement simple, par tout les temps, pour toutes les occasions, je porte exactement le même habillement, j’en ai assez dans mes valises pour changer tout les jours et en avoir encore une paire pour durer une semaine et demi sans aucun problème, sachant que la lessive est faite une fois par semaine généralement avec moi, et bien… J’ai toujours des vêtements propres et en réserve, hé oui, je sais, c’est totalement fou.
Bref, j’ai toujours une chemise ocre, rouge, un peu noire, bref une chemise, sans t-shirt ni rien du tout en dessous, juste une chemise, généralement je ne la ferme pas plus haut que les trois-quarts, sauf quand il faut que je fasse un minimum sérieux, mais je hais cela.
Elle est donc généralement ouverte à la poitrine.
Ce qui permet de voir que je porte plaqué sur la poitrine, niveau du sein gauche, le holster d’un pistolet, un P99 qui est toujours chargé d’un chargeur de balle normal, un chargeur de balle anesthésiante est juste à côté, au niveau du sternum et accroché à la sangle du holster, enfin, un dernier chargeur de balle explosive juste à sa gauche, le mieux étant que je n’ai pas à m’en servir.
J’ai plusieurs marques de cicatrices sur tout le torse et dans le dos, mais bon, je m’étendrais dessus plus longuement après, j’en ai partout, c’est ce qu’il faut savoir, certaines me strient le torse ou le dos de droite à gauche ou de haut en bas, elles s’effacent avec le temps, mais elles seront toujours là au fond…
Pour le bas, et bien ma foi, un pantalon assez léger, tissu très fin, bien accroché et noir.
Une ceinture serré à l’avant-dernier cran le retient, et il est à noter qu’un poignard est accroché au côté gauche de la dite ceinture, même si il est généralement caché par ma chemise qui descend par-dessus, vu que je ne la rentre jamais dedans.
Rien de plus à dire sur ce pantalon.
Enfin, je porte une paire de rangers, remontant précisément au milieu entre le genou et la cheville, rangers qui, je vous l’avouerais avant que vous n’en preniez un coup, sont doublé en métal, donc… Hm… Voila quoi.
Elles sont tout aussi noir, lacets en laçage commando, six trou plus deux, deux sangles sur le haut pour assurer le tout, d’une part pour frapper c’est génial tellement ça défonce et ensuite, essayer donc de me blesser à ce niveau avec ça tient…

Caractère : Mon caractère c’est mon caractère, et si je pars comme cela normalement il ne devrait pas vous intéresser, du moins jusque à ce que vous ayez à l’affronter, et là, ce sera une autre affaire, enfin, la vie est ainsi faite.
En réalité je suis une personne extrêmement froide, qui n’exprime JAMAIS au grand jamais ce qu’elle pense, ni ne dit à quelqu’un ce qui ne va pas, pour vous dire, je suis comparable à un iceberg quand je suis dans ma crise de « foutage de gueule du monde ».
Plus rien ni personne ne m’intéresse alors, je deviens extrêmement violent, je peux frapper durement pour la simple raison que je n’aime pas la gueule de celui qui me fait face, j’appelle cela de la chirurgie esthétique voyez-vous, c’est sans doute pour cela que en général et même quand je ne suis pas en pleine crise, les gens m’évitent comme la peste, car ils ne peuvent pas savoir ce qu’il risque de leur arriver s’ils viennent me voir.
Malgré tout et là je risque de vous étonner, si, si, je sais que je vais vous étonner, et bien…
JE NE SUIS PAS TOUJOURS COMME CA !
Hahaha, je le savais, vous vous y attendiez pas hein, et bien pourtant si, je ne suis pas toujours comme ça et il m’arrive quelque fois d’être la personne la plus gentille, compréhensive, calme, douce, câline, bref, tout l’inverse de ce que vous risquez connaître en temps normal.
Malheureusement et c’est là que cela devient con, ce genre de chose n’arrive que lorsque je suis seul, que je mange, que je dors, que je jardine, où que je tombe amoureux.
C’est con la vie hein, car vous ne risquez pas de me voir dans ces cas là, vraiment dommage pour vous.
Enfin, ne nous leurrons tout de même pas car si la personne en face de moi me parait correcte, gentil, et autre, j’adapterais mon comportement sur le sien.
Enfin, et malgré tout ce que j’ai déjà dit, je reste une personne qui se veut médecin, scientifique par le nom, médecin par les occupations, et donc si je dois traiter un patient je ne vais pas me mettre à entrer en crise, cela, ça n’arrive que lorsque je ne m’occupe de personne et que l’on vient me faire chier.
Mort au con, vive la colo hein…
Hm…

Histoire : Bon…
Vous avez vu mon âge je pense, je suis né il y a de cela quelque vingt-cinq ans, mais cela, vous le saviez déjà, hé oui…
Bref, vingt-cinq ans déjà, cela fait un sacré temps tout de même non.
Je trouve aussi ouais, mais bon, je me sens pas encore prêt à mourir pour autant hein, ne croyez pas cela, j’en suis pas encore arrivé à ce point.
Bref.
Mon histoire…
Et bien pour être sincère avec vous je n’ai en réalité aucun souvenir de ma petite enfance, entre zéro et six voir sept ans, bah ouais, je sais, tout le monde dit qu’on s’en rappelle toujours un peu, que ce soit au minimum par ses parents, mais non, rien à faire, moi, je n’en ai plus aucun souvenir.
Je suis né et je ne me rappelle de rien avant mes sept ans.
J’étais un garçon heureux, souriant, riant de tout et rien, aimable, gentil, câlin.
En ce temps là, le noir ne prédominait pas tellement dans mes habits, bien au contraire, et j’étais capable d’être amicale avec tout le monde.
Ouais, c’était le bon temps alors, l’amitié, la douceur du foyer.
Oh, bien sûr, je me faisais frapper, je m’en rappelle, oui, oui, tout les soirs, était-ce papa qui était ivre, maman de tristesse…
Nan…
J’étais juste leur défouloir, mais c’est normal non ?
J’avais toujours vécu comme ça je crois.
Alors pourquoi m’en offusquer, si c’était normal, et bien je n’avais rien à dire, pourquoi chercher plus loin que cela alors que toute la solution a mes problèmes étaient de me laisser faire.
Ca n’aurait servi à rien, donc, je me faisais frapper, encore frapper, toujours frapper.
Et toujours j’avais un sourire aux lèvres, même quand elles étaient gonflées et bleuies de sang, d’hématome… Rien que de très normal…
Cela a longtemps duré, mais malheureusement lorsque je suis entré à l’école, le fait que je sois résolument plus doué que la majorité des élèves en énerva certain qui de par ce fait ne pouvaient accepter l’amitié que je leur tendais, et ainsi, ce qui me hantait tout les soirs à la maison, cette douleur atroce des coups donnés et redonnés refit surface.
Plus seulement la nuit, mais le jour aussi, à la cours de récréation, à la sortie des cours, partout, tout le temps, frappé, maltraité, mais c’était normal, normal, je devais résister c’était obligatoire, tout le monde y résistait !
Comment pouvais-je savoir que se faire battre n’était pas normal, que l’humain est le seul à pouvoir maltraiter ses enfants, les membres de son espèce, sans autre raison que l’envie…
Impossible…
Et les bleus firent place aux bleus, les cocards au cocards, les cicatrices aux cicatrices…
Le pire de tous devait être mon père je crois, il frappait durement, ne me ménageait jamais aucunement, et si ses poings tremblaient trop, saignaient trop pour me frapper, il en venait au fouet, la majorité des cicatrices que j’ai sur le corps et qui sont encore visibles, étendues, viennent de son penchant pour cet instrument, des brulures dont je ne suis pas prêt de me débarrasser.
Et j’ai continué de grandir.
Doué entre les doués.
A l’âge de quatorze ans, j’avais mon BAC, j’entrais alors en Fac de médecine car depuis longtemps, je souhaitais devenir médecin.
La encore, je me suis vite rendu compte que non, j’étais bien trop doué pour eux.
Là ou il fallait quatre heure à un étudiant normal, j’avais finis en une heure.
Jamais quelque chose ne m’avait parut si simple.
En quatre années, QUATRE, j’avais réalisé les huit années de médecine normale, EN QUATRE.
A dix-huit ans, âge où mes condisciples entrent en médecine, j’en sortais.
Ce fut dur, car figurez-vous que durant tout ce temps, jamais la violence n’avait arrêté du côté de mes parents, tout les soirs, c’était le même scénario, combien de fois ai-je dormi sur le sol, incapable de bouger, les vêtements en loque car les articulations immobilisé, où du moins tellement bousillé par les coups que je ne pouvais plus les utiliser…
Des dizaines de fois…
Que de douleur…
Et l’accident eu lieu.
Cela datait d’il y a alors sept ans.
L’année de mes dix huit ans oui, vous avez bien calculé.
Ce jours là, je me suis encore fait frappé, il était alors vingt-deux heures dix-sept, je me rappelle de tout avant ce moment là, mais j’ai oublié tout ce qui suivait cette minute, il me manque près de douze heures de vie.
Ce jour là à cette heure-ci, mon père chercha à me tuer sans s’en cacher.
Le coup fut largement plus violent que d’habitude et porta sur mon crane, du côté gauche, il y eu un craquement, et je sentis le sang envahir ma bouche, il avait frappé vivement, de derrière, dans mon dos, avec un objet dont je ne me rappelle plus.
Ne nous leurrons pas, j’ai eu le crane fissuré, brisé serait même plus juste, une commotion cérébrale s’en suivit, le gout de sang m’envahit, il tomba sur mon visage de la plaie à mon crâne, la douleur m’avait envahit violemment.
Tout à changé alors.
Je ne me rappelle de rien personnellement, mais selon les caméras, et selon mes souvenirs enfuient au plus profond, cela se passa ainsi.
Le regard voilé de sang, je me suis levé et retourné, mes yeux prirent une teinte froide comme tout, et finalement ma pupille et mon iris se fondirent en une seule couleur, suite au trauma, et c’est alors que j’ai levé la main et que je l’ai frappé.
Mon père, je venais de frapper mon père.
Et j’avais du y mettre plus de force que tout ce que j’avais, car lorsque mon coup porta, il s’écrasa par terre, ce qu’il n’avait jamais remarqué, c’est qu’a force de me frapper il m’avait obligé à développer des muscles pour défendre mes organes, et ces muscles marchaient plus que bien.
Sans pouvoir me maitriser, j’ai continué à frapper, frapper, frapper, jusque à ce qu’il meurt dans son sang.
Noyé dans son sang.
Un sourire dément au visage, j’ai tué toute ma famille, ma mère, tout ceux qui m’avaient frappé.
TOUS Y SONT PASSES.
Et toujours, le sang coulait, j’en avais partout, du leur, du miens, mais plus rien ne me faisait mal, plus aucune douleur ne me vrillait les nerfs, PLUS RIEN.
En me traumatisant, mon père avait simplement crée une arme.
Il avait détruit ma conscience d’enfant, gentil et sans haine, il avait détruit mes cellules nerveuses réceptrices de douleurs.
Il avait crée un homme pour qui tuer était normal.
Un homme qui ne pouvait avoir peur de se faire frapper, ne sentant la douleur.
Voila ce qu’il a crée.
Il n‘aura pas eu l’occasion de profiter de son invention.
Après mes parents, j’en suis venus à pourchasser tout mes anciens ‘camarades’ de classes, je savais tous où ils habitaient, TOUS.
En douze heure, ma ville connut une série de meurtre sans précédent, toute une génération d’enfant disparut, parfois avec leurs parents quand ceux ci me gênaient…
Et plus je tuais, plus j’étais content, plus je riais.
J’adorais cela, l’odeur de leur sang, sa chaleur.
Je crois que j’en ai bien profité, oh oui, énormément même.
Le lendemain, la police me retrouva couvert de sang chez moi, au milieu du massacre, mon père avait toutes les articulations explosé, un vrai pantin, le sang baignait les murs et le sol, quant à ma mère… Elle n’avait plus rien d’humaine.
Et j’étais là, au milieu de ce spectacle, sans rien comprendre, j’étais couvert de sang, j’avais mal aux yeux, au crane, je me sentais mal, mais non…
Je ne savais rien.
Que venait-il de se passer ?
Pourquoi était il mort, ce n’était pas normal.
Je ne le sus jamais.
La police me retrouvant ainsi, avec un traumatisme crânien, me considéra comme une victime survivante, je fus placé dans un hôpital spécialisé grâce à l’héritage de mes parents, et je me suis fait guérir.
Enfin…
C’est une façon de parler, car plus jamais je n’ai retrouvé ma conscience d’avant, je suis devenus froid.
J’avais gardé l’âme d’un tueur, prêt à tout.
Je suis resté dans cet hôpital un bon mois, avant d’en sortir.
Je me suis trouvé un appartement, un métier pour passer le temps, j’ai découvert que cuisiner, jardiner, me remplissait d’un bonheur, d’une joie, que j’avais perdu en me faisant défoncer la boite crânienne.
Il me restait donc un peu de moi…
Ah… Bien, tant mieux.
Le temps passant, j’ai entendu dire que l’on recrutait des scientifiques et autres dans une maison à l’écart de la ville, j’y suis alors allé et m’y suis présenté.
Me voila maison Thao, me voila…
Et à mon avis, on va bien s’entendre…

XDDDDDDDDD
J'adore t'entendre dire que tu es pas satisfait parce que ça te semble court et te voir ensuite poster sur deux messages pour faute de place...

=.=
Bienvenue *w*

Ouais bon hein hé ho d'accord.
Le premier Lionis, c'était sur 5/6 messages que sa fiche tenait d'abord, alors zut... T__T

Ouiiiiiiiiiiiii
=_= au bout de 5 mois de jeux quoi.
*dépressionne sur sa fiche a lui*
Hem. Tu pourras jouer quand le grand manitou te valideras XD *préfère pas le faire, est pas certain que la fiche convienne pleinement aux critères*

Ouais, bon, j'avoue, d'accord, j'ai joué Lionis cinq mois avant de finir sa dernière fiche, d'accord, et en fait, j'ai même joué plus de trois mois sans fiche, mais n'empêche que au final, elle faisait dix-sept pages words xD !
Bref...
Manitouuuuuuuuuuuuuuuuu, sivouplaiiiiiit, on vous demande.

pour ma part c'est ok
mais deux choses...

les regles il faut que tu les signe corectement et que l'admin principale valide la fiche
*a pa envie d'avoir plus de reproche apres*

^^"
*a eu du mal a tout lire*

Y fait des romans hein ?...

>.> Y peut flooder en attendant ?

Ce n'était PAS long.
Votre Esprit a vu deux messages et en a déduit que cela DEVAIT être long, c'est ainsi que vous embourbant dans vos propre croyance, vous avez eu du mal à lire un truc qui s'enfile facilement.
C'est donc votre faute, na, huhuhu.

-____-" comme si j'avais l'habitude de reprocher quelque chose a ceux qui valident les fiches.

Bon après une lecture et ouai j'ai tout lu :p

Le grand manitou(quel nom stupide, bête chat) valide le sujet si présent.

Bienvenue(mais ne tue pas les pensionnaires de Thao stp)

Je vais te faire ton bureau

*retourne hiberner*

Promis, promis, je ne les tuerais pas, au pire, je les tabasserais un peu, mais guères plus que cela, je suis un homme civilisé moi, voyons.
Hm...
Bref, merci bien. ^^

=.=
Bête...
Chat ?....

*lui griffe en travers du visage*

Tsss >.<

» Kaito Anota (scientifique)