Nom: Minikui
Prénom : Sakki
Age (entre 14 et 20 ans):16 ans
Orientation sexuelle: bisexuel
Problème(physique, psychologique): croit que le meurtre est un art, n'a pas conscience que tuer est mal (bref c'est un gros psychopathe quoi).
Caractère (5 lignes): Sakki est plutôt gentil. Il est même très gentil. Bavard parfois. Et il aime jouer et rire… On dirait même parfois un garçon normal. Pourtant il pourrait s’amuser à vous couper un bout de doigt ou à vous arracher la joue et prendre des photos juste parce qu’il trouve ça magnifique, que c’est de l’art à l’état pur selon lui. Même si maintenant il a tendance à plus se faire saigner lui car on lui a expliqué qu’il ne fallait pas toucher les autres. Il est très têtu, il ne faut pas le contrarier où il peut très vite s’énerver. Il est devenu plus irritable depuis qu’on l’a enfermé et que ses parents l’ont abandonné. Il ne supporte pas l’enfermement. Et il peut pleurer juste parce qu’on lui a mit une baffe. Il ne comprend pas qu’on ne puisse pas tuer quelqu’un alors que d’après lui si on s’y prend bien ça peut faire un tableau magnifique et parfait, quelque chose de très beau. Il pense donc que les gens ne comprennent rien à l’art et que ce sont eux qui ont tort et pas lui. Il n’éprouve absolument aucun regret envers les victimes. Malgré son petit mètre 67, il a pas mal de force physique.
Histoire (20 lignes minimun):
« Madame je voudrais avoir une convocation avec vous sur certaines réactions étranges de votre fils », c’était l’institutrice de CP qui appelait Madame Minikui. La mère ne s’inquiéta pas plus que ça, que pouvait-on lui apprendre sur son fils ? Peut-être embêtait-il les filles, dessinait des trucs un peu étrange, avait du mal avec la lecture et ou encore répétait-il des choses qu’il avait entendu dire par les adultes. Des problèmes qui pouvaient sûrement se régler. Quelle ne fût pas sa surprise quand l’institutrice lui expliqua qu’il avait pour habitude de planter des punaises dans les doigts des autres enfants en disant que la couleur du sang c’était beau… Son fils se fit disputer, on ne devait pas planter des punaises dans les doigts des gens, faire saigner quelqu’un c’était mal. Le garçon s’arrêta quelque temps… Mais bientôt déjà l’institutrice rappelait les parents, cette fois-ci leur fils avait essayé de couper un doigt pour voir ce que ça donnait. Le petit garçon avait finit à l’hôpital, et Sakki finit devant un psychologue.
« Peux-tu me raconter ce qui te pousse à couper le doigt de quelqu’un ? »
« Je veux savoir si ça fait beau ! »
« Penses-tu qu’un doigt coupé puisse être beau ? »
« Je ne sais pas, je n’ai pas pût le couper en entier »
Les séances chez le psychologue se multiplièrent... Au bout d’un moment Sakki s’arrêta, se passionnant pour l’art, le psychologue le relâcha. Il avait 10 ans. Il aimait les tournesols de Van Gogh, il aimait les tableaux de Picasso, il aimait l’abstrait et le concret… Pourtant il y avait autre chose qui le passionnait de plus en plus… C’était la mort, tous tableaux avec un mort lui procuraient un plaisir gigantesque. Qu’est ce que c’était beau. Bientôt les tableaux ne lui suffirent plus. Il rencontra une jolie fille, tellement jolie… Il la trouvait si belle qu’il était persuadé que morte elle le serait encore plus. Mais il ne pouvait pas la tuer juste comme ça… La mort était un art, il ne devait pas la détruire. L’étranglement abîmerait son jolie cou, le poison lui donnerait une tête affreuse, l’arme à feu était trop hasardeux il suffisait qu’il vise à côté pour tout détruire, il opta pour un petit couteau bien pointue, un de ceux qui se plantaient bien et qui ne faisait pas trop de dégât. Directement dans le cœur, la fille n’eut même pas le temps de comprendre qu’elle mourrait. Il l’habilla ensuite en robe blanche, laissant le sang de sa poitrine imprégnée de rouge la robe. Il l’entoura de pétale de tournesols et pris des photos sous différents angles. Ainsi il commença à exploiter la mort, le sang, la beauté et prit des photos. En attendant une enquête était menée sur les femmes et les garçons qui étaient tué, avec, semblait-il, une profonde indifférence. Oui parce que Sakki n’avait aucune préférence pour les filles ou les garçons, seule la beauté importait. Tout du moins ce qui représentait la beauté à ses yeux. Car il avait même tué une personne assez moche pour voir ce que ça donnait, et c’était pas mal non plus, il l’avait tué en déformant un peu plus son visage à coup de battes de base-ball, chaque fois il innovait. Il tua ainsi 8 personnes, avant de se faire finalement chopper. Sa mère et son père en furent choqués quand on leur montra toutes les photos que les policiers découvrirent. Ils rejetèrent leur fils et ne vinrent pas à son jugement. Il avait 14 ans. Son procès dura six mois. Pourquoi aussi longtemps ? Parce que psychologues et avocats se battaient pour savoir si Sakki n’était qu’un malade mentale ou s’il était au contraire très conscient de ses actes. Pour ne pas aider Sakki restait toujours très calme, comme si ce qu’il avait fait était tout à fait normal… Finalement il fût juger malade, quand au milieu d’un de ses procès il se leva et planta un couteau dans la main d’un avocat pour en prendre des photos et s’exclamer :
« Comme c’est beau cette main transpercée, comme c’est beau… »
Avec un regard à moitié fou. Il fût alors envoyé en asile pour malades graves, se retrouvant enfermé entre 4 murs. Il commença à péter les plombs, ne comprenant pas pourquoi on l’enfermait, il était tout à fait normal, il aimait juste l’art… Pour lui la mort et le meurtre n’étaient que deux autres arts parmi tant d’autre. Et pourquoi ses parents refusaient-ils de le voir ? Qu’avait-il fait de mal ? Il était toujours attaché quand le psychiatre venait le voir. On l’éloignait des autres malades et il mangeait à part, car la seule fois où il avait été en leur compagnie il avait enfoncé sa fourchette dans l’œil d’un des patients, et quand on lui avait demandé des explications il avait répondu qu’il lui avait trouvé un beau visage et aurait voulu le voir sans ses yeux. Il se retrouva totalement isolé. Il pleura énormément. Il ne comprenait pas pourquoi les gens le rejetaient ou avaient peur de lui. Les psychiatres lui expliquèrent que s’il enfonçait sa fourchette dans l’œil de quelqu’un, ou même le tuait, les autres allaient pour toujours le fuir, même si lui trouvait ça beau, les autres n’aimaient pas ça. Sakki dit alors :
« Ils n’aiment donc pas l’art ? »
Le psychiatre avait soupiré et répondu :
« On peut dire ça comme ça… »
Sakki avait alors juré de ne plus tuer ou faire de mal, si les autres n’aimaient pas l’art, mais qu’on le laisse sortir, qu’on le laisse voir ses parents. On ne le laissa pas sortir de l’asile, on ne le laissa pas voir ses parents qui ne voulaient même plus entendre parler de lui, on le laissa juste rencontrer les autres patients. Et il tint sa promesse. C’est lui qu’il commença à faire saigner pour prodiguer son art. On le soigna plusieurs fois parce qu’il s’était taillé les veines juste pour voir le sang couler. Pour passer ses envies de meurtres on lui donna du papier et des crayons pour qu’il dessine des morts, lui expliquant que les créer sur papier était moins dangereux. Il se mit alors au dessins s’y trouvant tout de suite un don, ses œuvres étaient toujours très morbides, très horribles, et pourtant emplis d’une certaine beauté… Il continuait parfois à se faire saigner pour que le dessin soit rendu plus vrai. Et puis finalement on lui apprit qu’il pouvait sortir… Pas pour être remis en liberté, ça il n’en avait pas le droit, mais pour aller dans un centre spécialisé, appelé La maison Thao. Il avait 16 ans.
Physique (en rapport avec l'avatar, 10 lignes): Au premier regard on ne voit pas que ce garçon a déjà tué. Il a plutôt une tête d’ange, et pour ne rien arranger il est souriant. Il est même assez mignon, c'est un vrai chou d'amour (quand on le voir on n'a qu'une envie : le croquer !), voire attirant, un joli blond aux yeux bleus, un petit air malicieux peint sur son visage, bref les gâteaux à la crème font pâle figure à côté de lui tellement qu'il est ADORABLE <3, il semblerait donc qu'on peut lui faire confiance (ce qui n'est pas le cas en fait). Il aime s’habiller de couleurs vives, souvent orange, jaunes ou bleu clair flashi. Il se trimballe avec un appareil photo, voir des crayons et un carnet pour dessiner. Il a souvent des pansements aux doigts ou bandages aux poignets parce qu’il se fait saigner. Il a des cheveux en batailles et il aime bien y accrocher des pinces, y mettre des crayons, ou encore se les attacher avec des petits élastiques, le pire c’est que ça lui donne un air un peu gamin qui le rend encore plus mignon. Bref qui pourrait croire que derrière ces magnifiques yeux azurs et tellement innocents se cachent un assassin sans regret ? Sinon il mesure 1m67 pour un petit 50 kilos, bref pas très grand et plutôt maigre, cela ne l'empêche pas d'être fort. Pas de piercing, il a un tourbillon rouge sang tatoué sur l'épaule droite. Sinon il porte un bracelet noir au poignet (en fait c'était un bracelet qu'on donnait pour désigner les malades dans son asile (noir étant pour les plus dangereux.)) Sa voix est plutôt clair et douce, enfantine également ce qui ajoute encore à son air tout mignon. Enfin bref il a tout l'air du plus adorable adolescent qui soit, sauf que c'est pas vraiment le cas... En fait.
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Dim 27 Jan - 20:36
