Entrée de Aya

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La porte du hall se referma avec fracas. Une jeune fille apparut sur le seuil , trempée jusqu'au os. En entrant elle avait litteralement envahie d'eau le pas de la porte.

* Super première impression...*

Elle s'essora ses longs cheveux noirs avec ses mains pour tenter de limiter les dégats mais elle inonda encore plus. Elle repoussa ses cheveux en arrière et laissa ainsi se découvrir son visage. Il était très pale comme toujours et ses yeux étaient habilement surlignés de noir. Avec ses pets yeux curieux, elle observa le hall. Elle ne vit personne.
*comment je vais trouver ma chambre moi...*

Aya prit donc la décision d'attendre ici que quelqu'un veuille bien venir et l'aider...

Invité

[=> Jardin]

Sélène arriva, son mal de tête toujours intense. L'aspirine n'avait rien donnée. Elle marchait en titubant tout en essayant de de se cnotrôler car elle savait que la crise de folie n'était pas loin et que cette migraine était un signe très alarmant.
Elle s'arrêta, s'appuyant sur le mur avec son coude. Elle avait la respiration haletante et de la sueur perlait sur son front.
Elle releva la tête et aperçut une jeune fille au milieu du hall, trempée à cause de la pluie.

*Il pleuvait pourtant pas tout à l'heure dans le jardin? Arf, le temps et ses mystères...*

Elle regarda la jeune fille. Elle décida de ne pas faire la renfermée et la timide

- "Heu...salut...je peux t'être utile?"

C'est tout ce qu'elle put dire. Elle s'avançat encore un peu, manquant de tomber, et à bout de forces.

Invité

Aya vit qu'une jeune fille, qui titubait presque, s'avancait vers elle. Surpise elle se demandai ce qu'elle avait bien pu prendre pour etre dans cet état. La jeune fille la salua.

" Ah salut ! Oui je veux bien je ne sais pas trop où aller...."

Elle se forca à sourire mais vu la saucée qu'elle venait de se prendre n'arrangait pas son humeur toujours très ... cassante.

* je dois etre ridicule avec toute cette eau... ca commence bien...*

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Sélène secoua la tête pour se réveiller un peu. Il fallait pas qu'ele se laisse manger par sa propre folie. Elle se redressa de toute sa hauteur, étant grande et fine cela changea complètement sa morphologie. Elle s'avaça vers la jeune un peu plus...Elle n'avait jamais osé s'apporcher de quelqu'un aussi près que maintenant, depuis son viol. Elle eu une drole d'impression et cela se remarquait sur son visage. Elle n'était pas très à l'aise. Elle lâcha ces quelques mots à la jeune fille:

- "Je suis ici que depuis ce matin..."

Elle n'avait pas l'habitude de parler beaucoup.

*je connait que ma chambre...comment vais-je pouvoir la guider un peu?*

- "On pourrait...enfin si tu veux...visiter ensemble?"

Elle se sentait très mal elle savait qu'elle n'allait pas tenir longtemps. Elle mit la main dans sa poche et agrippa les menottes qui s'y trouvaient. Elle espérait ne pas avoir à les utiliser.

*Il faut que je la prévienne si elle accpete*

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Quand la jeune fille se redresse , Aya fut très surprise. Cela la changeait complètement. Desormais, elle devait bien faire deux têtes de plus qu'elle et était très impressionante. Elle remarqua qu'elle n'était pas très à l'aise. Aya eut l'impression qu'elle gardait une douleur en aide et qui ne voulait pas sortir.

*un peu comme moi...*

Elle avait l'air vraiment mal mais Aya ne savait pas comment l'aider. Aya n'alllait pas lui demander ça comme ca de but en blanc.

" Oui, bien sur ! Allons y ..... "

Puis elle vit que la jeune fille sortit quelque chose de sa poche mais le cacha très rapidement.

* qu'est ce que c'est ??*

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Sélène secoua la tête légèrement. Elle remarqua que l'attention de la jeune fille venait de se portait vers son geste. Elle devait donc en être intriguée. Sélène prit une longue inspiration pour calmer les battements de son coeur, qui allait très vite.

- "Je dois...enfin...il vaut mieux que je te prévienne...avant que tu vienne avec moi...on ne sait jamais"

Elle avala de travers...Expliquer son trouble à quelqu'un...Elle ne l'avait jamais fait. De plus, elle allait devoir parler longtemps et faire de longues phrases...Elle se dirigea vers le mur pour s'y adosser. Elle prit une longue inspsiration puis:

- " ... "

Aucun mot ne sortit.

- "Je suis désolée, je dois t'embêter avec mes problèmes...tu es trempée, il faudrait que tu aille te changer..."

Elle s'arrêta un moment.

- *Aller, arrête de stresser, s'il faut il n'arrivera rien...*

Mais le mal de tête persistait toujours.

- "Tu veux aller prendre une douche...ou aller dans ta chambre?"

Elle se tue, toujours adossée au mur.

- "Au fait...moi c'est Sélène..."

Invité

Aya fut troublé par les paroles de la jeune fille. Qu'avait elle de si grave à lui annoncer ? Elle sentit bien qu'elle était très mal à l'aise, qu'elle voulait parler mais que rien ne voulait sortir, un peu comme elle ....

" Mais non , tu ne m'embetes pas ! Ne t'inquiète pas pour ça j'ai tout mon temps !" dit elle pour rassurer la jeune fille.

Elle se tut un instant regardant la jeune fille adossée au mur qui essayait de détourner le sujet pour ne pas expliquer son mal, un peu comme Aya en réalité....

" Moi c'est Aya.... tu peux m'expliquer tu sais... c'est mieux d'en parler...."

*pfff c'est moi qui dit ca alor que je n'ai jamais avouer à personne ce qui m'est arrivé.... *

Invité

Sélène ne s'attendait pas à ce qu'Aya se focalise sur son problème...Elle pensait qu'elle aurait préférer se changer avant...mais bon, ce n'était pas le cas. Comment avouer...à quelqu'un qu'elle venait à peine de rencontrer, dont elle ne connaissait seulement le prénom, qu'elle était sujette à de pures folies démentes ou elle était obliger de s'attacjer pour ne pas se faire du mal ou faire du mal aux autres? Tout cela...à cause d'un viol...encore heureux qu'elle était en face d'une fille, car s'il s'était agi d'un garçon, Sélène ne se serait pas même approchée à moins de cinq mètres et elle aurait encore moins parlé...
Sélène avala sa salive bruyament et se tordait les mains nerveusement sans s'en rendre compte. Elle regardait Aya et se doutait un peu que cette fille était habitée par quelque chose dont elle n'osait jamais parler aussi...Cependant, elle savait que cela ne servait à rien de questionner une personne qui ne veut pas parler de son problème de son propre chef.

- "Heu...je...je ne sais pas comment te l'expliquer...enfin, si cela ne te dérange pas...je préfèrerais attendre un peu...encore...s'il te plaîs..."

Son habitude de ne pas parler aux gens était telle qu'elle n'arrivait qu'à construire des phrases hachées.