Jun Ni

Prénom : Jun.
Nom : Ni.

Âge : 17 ans.
Origine : Son père, japonais, lui hérita la finesse et la sveltesse des asiatiques, tandis que ça mère, russe, lui offrit les infîmes mais délicieux détails qu'un slave peut arborer.

Orientation sexuelle : Gay.

Problème psychologique

S'il le pouvait, Jun ne sortirai jamais dehors, là où grouillent des êtres humains aux âmes pervertis par le temps qu'il enverrait bien aux enfers. Il n'aime pas le genre humain. Tout ce qui est vivant, et susceptible de pires notions, l'écoeure à un point exécrable. Misanthrope et légèrement agoraphobe.

Description physique

Jun a un visage symétrique. Un nez droit et fin, une fine bouche rosée qui ne sourit qu’à de rares occasions.

Du haut de son un mètre septante huit, son regard émeraude, sombre et hautain ne s’arrête jamais sur les quelconques individus qu’il est susceptible de croiser. Ses cheveux décolorés en un blond foncé fait ressortir sa peau au teint pâle, dépourvue de tatouages, de piercings ou autres inventions stupidement créées par l’être humain, excepté à son oreille gauche, où gît une boucle, seule touche féminine qu’il s’était accordée.

Son style classique est décontracté. Il aime porté de simple chemise qui met en valeur son long, fin et frêle corps. Ses doigts sont décorés de diverses bagues significatives, et sa bouche souvent accompagnée d’un mégot.

Caractère

Comme chaque être humain, il n’échappe pas aux défauts et qualités. Perfectionniste, utopique, têtu par moment, parfois agréable, souvent serviable même s’il ne montre pas son dévouement, légèrement misanthrope et masochiste, extraverti, manipulateur, assez associable, rarement égoïste, grognon uniquement le matin, susceptible, dévoué, généreux, doux et câlin avec les rares êtres auxquels il s’attache. Sachons qu'il n'y en a eu aucun jusqu'à présent.

Il est très timide, parle peu, surtout en présence de personne qu’il ne connaît pas. Jun préfère rester distant, c’est le moins que l’on puisse dire. Son associabilité n’arrange en rien sa vie banale.

Jun aime, cela dit, le sexe. Un échappatoire essentiel auquel il accorde sans grande obstination une large partie de son temps. Il ne dit jamais non, et ne se prive pas de s'octroyer de nouvelles rencontres. Jun préfére les plus âgés ; pour leur torride expérience qu'il souhaite quérir.

Histoire :

Un jour de décembre, naquit dans un petit village aisé de la Russie, Jun. Sa mère, russe, meurt quelques jours après sa naissance. Ce fut ce tragique accident qui déclancha leur fuite vers une nouvelle vie, où Jun, qui n’avait que quelques mois, et son géniteur nippon pourront oublier cette perte.

Il est fils unique, et est élevé par un père alcoolique et triste, mais présent malgré tout. Celui-ci pu lui payer ses études dans un prestigieux collège qui abritait des élèves venant des quatre coins du monde. On y étudiait des langues différentes, dont l’anglais et le français.

Son renfermement l’aida à n’avoir aucune difficulté scolaire. N’avoir aucun contact avec les étudiants qu’il côtoyait chaque jour lui était, étrangement, favorable. Jun ne sortait pas « faire la fête ». Il ne fêtait pas son anniversaire. Il n’allait pas au bowling ou à la foire du coin.

Le monde extérieur était si barbare à ses yeux qu’il ne mettait pied dehors que pour les obligations scolaires. Lui, c’était s’évader dans les bouquins qui l’intéressait. Plus tard, il voulu plonger un peu plus dans sa passion pour la littérature, et une plume lui tomba entre les doigts, lui faisant écrire de courtes merveilles qu’il ne partageait à personne d’autre qu’à lui-même.

Durant ses petites années d'étude, il rencontra une jeune adolescente passe-partout qui lui fit découvrir les plaisirs sexuels… Insatisfaits.

Insatisfait était le parfait mot.

Les hommes. C’étaient les hommes qui le faisaient rougir. C’étaient eux qui lui faisaient plaisir, qui le faisaient jouir. Il n’hésita donc pas à, pour ses toutes premières fois, Sortir.

Sortir et Rencontrer.

Rencontrer, draguer. Se faire draguer. Aborder, Connaître… Apprendre.

Cette petite liberté ne dura qu’un instant. Il ne prit, bien vite, plus aucun amusement à être aussi volage. Jun ne se reconnaissait plus, et en eut bien honte.

Plus tard, son père mourru d'une trop longue et insupportable solitude. Jun fut remi à ses grand-parents paternels, qu'il haïssait et qui le haïssaient. Ceux-ci, aucunement intéressés par la garde de leur petit-fils, l'envoyèrent à la Maison Thao, prétextant un mutisme inné et une misanthropie générale.

[ Non finie, sauf si cela convient. ]

Elle convient, mais si tu veux l'étoffer encore un peu, surtout n'hésite pas ! ^____^