hall d'entrée

Renka fut assez surpris par l'arrivée innatendue de Sandral

"Et toi, Ayano, qu'est-ce que tu fais là?
Et au fait, ça veux dire quoi, "un tour de garde"?"

"je suis là parce que je dois ne pas avoir l'intelligence et la crainte nécessaire de rester dans ma chambre alors que des scientifiques cinglés font des tours de gardes et choppent n'importe qui n'est pas dans sa chambre pour l'emmener je ne sais où"

"Et bien, dis-lui bonjour également. Euh... Vous savez où se trouvent les dortoirs? On ne m'a rien indiqué... Je suppose que les garçons et les filles ont des dortoirs séparés... En tout cas, je ne sais même pas dans quel chambre je suis... C'est nous qui choisissons ici?"

Renka l'observa, dubitatif. depuis son arrivée, il n'avait pas tellement visité, mais il était vrai que les deux dortoires devaient être séparés....

"en fait, euh.... ça doit pas être tellement loin des dortoirs des mecs, qu'est-ce que t'en penses Sandral ? sinon on se prendrai pas tout ce ramassis de filles, non ?"

isaac, entendant du bruit, se dirigea vers le hall: il était tout seul depuis trop longtemps: il commenças à s'ennuyer.

Il s'approcha de la porte, puis essorant un dernier coup ses cheveux dnas la serviette qui tronais toujours sur ses épaules, il entra dans la pièce, un grand sourire aux lèvres: il n'avais pas perdu la mémoire cette nuit: chose tellement rare pour lui qu'elle le rendait joyeux !

" goedendag* tout le mondeeeee ! Désolé de me taper l'incruste, mais je m'ennuie tout seul dans mon coin !"

* bonjour en néerlandais

"konnichi wa isaac-san. tu as bien dormi ?"

renka venait de remarquer par la fenêtre que le soleil se levait, et qu'il n'avait presque pas dormi de la nuit

"tu as l'air content, ça fait au moins quelqu'un de joyeux dans ce trou... si tu arrivais à remonter le moral à tout le monde on pourrait se croire au pays des merveilles"

*et voilà que je me remets à parler pour rien dire....*

" oui j'ai bien dormi ... ET J'AI PAS MAL AU CRANEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE!"

il se mit à crier dans la pièce, laissant échapper sa bonne humeur: il était content, alors tout le monde allais en profiter, niark niark niark ...

"redonner le sourire ...pays des merveilles ... c'est un défi pour SUPER ISAAC !!!!"

Puis voyant qu'il passait plus pour un abruti que pour autre chose, il se mit à rire

" désolé, c'est ma bonen humeur qui fait ça !"

"je vois ça.... anno.... qu'est-ce qu'on fait ? ça ne me dis rien de rester ici.... Iya-na yokan ga suru wa*"

* : j'ai un mauvais pressentiment

renka s'alluma une cigarette, puis observa isaac sauter de joie dans le hall

" tu fumes ?" demanda le chatain en voyant son colocataire allumer une cigarette

* non, il tricote, ça se voit pas ? * se fit t'il remarquer ironiquement * evidement qu'il fume ! *

Puis entendant la question du jeune homme Isaac réfléchi quelques instants

" il y a tellement d'endroit ou je suis pas allé que tu as le choix ! et sinon désolé, mais je cause pas un mot japonais, ou chinois, j'en sais rien donc je sais aps trop ce que tu as dit ..."

"ça.... te gênes que je fume ?"

demanda renka, lachant une grande bouffée de fumée

"je crois qu'elle voulait trouver les dortoirs des filles....."

il se passa une main dans les cheveux, et lança un regard à isaac, qui avait l'air de s'être calmé

" non, perso, ça ne me gène pas que tu fumes, vu que mon espérence de vie ne dépasse pas les 30 ans, que j'ai les poumons noirs à ce moment ou pas, je m'en moque ! "

*le dortoir des filles ... je devrai trouver ! *

" et bien pas de problèmes pour le dortoir des filles, on y go ! "

[sa bonne humeur remontait à la surface et maintenant l'adolescent avait un grand sourire sur les lèvres[/i]

[-->tous vont vers le dortoir des filles]

Je ne comprenais absolument rien. Mais alors rien de rien. Il y en avait qui arrivaient, et qui repartaient, et qui revenaient, et qui repartaient...
Et, en fin de compte, ils étaient tous parti. Il ne restait plus que moi et Lardnas. je lui demandait:

"Bon, qu'est-ce qu'on fait, maintenant?"
"Ba, qu'est-ce que j'en sais, moi?"
"Rien."
"Alors."
"Ba je sais! On va retourner dans la chambre."

Mais il avait disparu. Sa arrive, il apparait, il disparait, et réapparait...

=> Chambre A

il arrivail marchait d'un pas dessideril regarda la grande salle qui etait devant luila maison du thao lui donner une bonne impression pour le moment

* c'est calme a premiere vue *

il remit son manteau en place et partit

>>chambre shiro

Angël entra dans le hall sans se presser, jeta un coup d'oeil à la ronde et prit une direction au hasard, afin d'explorer un peu les lieux, au risque de se perdre.

[chambre de Thaï]

(chemin)

Yuri arriva dans le hall et parcouru du regard cette grande pièce...

aucun bruit...ah si peut-être...des nouveaux arrivants...comme chaque jour...

Elle monta les escaliers et décida d'aller je ne sais où...



>>> ????

(Entrée)
.Cuth entra tout doucement dans le hall d'entrée.
*me faire accompagner par la police...j'espère ne pas m'être fait voir ><; en plus,sa ne me ressemble pas O_O*
L'endroit semblait bien,et il s'y plut immédiatement...même s'il devait s'y sentir comme un détenue.

Cuth tira sa petite valise et continua sa route.

>>>>Cuisine =3

Takumi descendit 4 à 4 tous les ascaliers et se retrouva dans un grand hall.C'est par la qu'il etait arrivé mais bizzarement il ne s'en souvenait plus.Il haussa les epaules et decida de "visiter" le batiment.Il prit une porte au hasard...

(=> cuisine)

Luzbel arriva ses parents sur les talon, il leur jeta un regard méprisant, sa pauvre et pitoyable mere et son con de pere.
Il avit eu ce qu'il voulait, l'abadon de leur tres cher fille ainsi que le deshonneur d'avoir un enfant anormale et completement dejanté.
Au moins cette pensée ravissait Luzbel.
Il jeta un dernier regard a sa mere avant de partir bagages en mains en direction de sa chambre.
(cghmabre F, Luzbel)

Andramède traîne victorieusement sa valise jusque dans le hall et considère l'ensemble du bâtiment avec un air un peu exaspéré. Il n'y avait pas cette apparence un peu miteuse qui hantait d'ordinaires les pensionnats et autres orphelinats, mais il y régnait une ambiance tout de même dérangeante.

Il ne saurait dire quoi, mais quelque chose pesait lourd dans l'atmosphère. C'était comme si les couloirs étaient habitués aux allées et venues fantômes et vides de sens, des errances grossières et sans raison d'être de fous qui traînaient leurs problèmes comme le fantôme traîne sa chaîne.

Secouant la tête pour chasser ces sombres pensées, il extirpa la lettre que lui avait remise le Général de sa poche et entreprit de la déchiffrer. Il avait pris quelques cours de japonais et, fort heureusement, avait progressé assez vite.

Le document indiquait qu'on lui avait attribué la chambre E, à laquelle il pouvait se rendre sitôt arrivé, afin d'y disposer des lieux et d'y ranger ses effets personnels. Cela le fit sourire, car ses possessions vestimentaires étaient des plus réduites : il avait dépensé l'argent que lui avait laissé sa famille dans toutes sortes de livres obscurs.

Rangeant la lettre, il se mit en quête d'un plan pour trouver la Chambre E.

[Vers Chambre E]

>> Douches Garçon (Troisième Etage)

Cela faisait maintenant une heure qu'il était remonté. Son colocataire devait encore s'y trouver puisqu'il n'était pas dans la chambre. Frédéric descendit lentement les marches, la femme de l'accueil était présente cette fois-ci, derrière le comptoire, courbée sur une grille de mots-croisés. Il se présenta devant elle :

-Le bonsoir. Dites-moi, pourriez-vous me dire où se situe la remise ?-

Quelle affreuse femme. Elle leva la tête vers le jeune homme, quelques mèches de cheveux gras retombaient sur son visage écarlate et boursouflé.

-'Voyez pas qu'ch'suis occupée nan ? Et 'pis z'avez qu'à r'garder l'plan, hein ? Vous savez faire ça j'imagine ?- aboya la vieille harpie en postillonant de rage sur le comptoire poussièreux.

Quelle voix... Mais quelle voix... C'était la voix d'une femme élevée au vieux scotch et aux cigarillos depuis ses plus tendres années. Frédéric lui répondit :

-Je n'ai pas été impoli, n'est-ce pas ? N'élevez donc pas votre ton, d'ailleurs je suis tout près de vous, je pourrais vous entendre même si vous murmuriez.- Il marqua un temps pour observer sa réaction puis reprit. -En ce qui concerne la remise, je n'aurai pas eu à vous demander cela et donc à vous déranger dans votre...- Il se pencha légèrement pour apercevoir la feuille raturée. -... travail si vous mettiez à disposition des plans.- fit-il sereinement.

Elle marmonna une kyrielle de jurons avant de tempêter :
-'Pas bientôt fini c'sermon ?! Vot' foutue r'mise ell'est au fond à droite maint'nant allez au diabl' !- hurla-t-elle en pointant son index boudiné vers le couloir.

-Merci bien, trop aimable.-

>> Remise.